A l’occasion de la célébration à Douala de la 42e édition de la Journée Internationale de la paix le 21 sept 2023, le Minjec a invité les jeunes à être des acteurs et des promoteurs de la paix dans leur environnement immédiat.
« Il est donc temps de se mobiliser, chacun dans son domaine d’activité et de compétence pour promouvoir la paix, la maintenir et la préserver , il est temps d’agir parce qu’il ne saurait avoir développement durable ou l’émergence de notre pays sans la paix », ces propos du ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mounouna Foutsou, ont été tenus lors du lancement officiel et solennel de la 42e Journée international de la Paix. Ils ont été tenus à Douala, une ville que le représentant du maire, madame Ndome Moukoko Léonide, 3e adjoint à la mairie, décrit en ces termes, « très cosmopolite, laïque, accueillant chaque année plus de 100.000 nouveaux résidents qui participent au dynamisme économique qu’on lui reconnait »
Dans son mot de bienvenue, madame le maire a indiqué que les ambitions de sa ville en tant que membre de l’Observatoire International des Maires sur le Vivre ensemble est « de partager sa vision de la cohabitation pacifique, gage de développement, engagement qui rejoint parfaitement le thème de cette année, « Actions en faveur de la paix : nos ambitions pour les objectifs mondiaux »
Traduire dans les faits la promotion de la paix.
S’agissant en effet de l’action, le Minjec n’est pas passé par quatre chemins pour interpeller les jeunes en particulier bien que la paix soit une affaire de tous : « elle engage toute la population mais les jeunes au premier chef parce que là où cette paix a été compromise, ce sont les jeunes qui sont les premiers acteurs et évidemment les premières victimes, ils doivent donc se mobiliser ».
Pour être concret, la mobilisation implique : éviter les discours et haine ou s’en éloigner, initier des activités d’information, de formation, de sensibilisation et d’autres actions qui traduisent dans les faits la promotion de la paix. Dans le village de Rudolph DOUALA MANGA BELL et d’Adolphe NGOSSO DIN, martyrs de la paix au Cameroun, madame le maire dit devoir s’employer davantage à faire de Douala un HAVRE DE PAIX pour toutes les populations aussi biens résidentes que celles en transit. Pour
A l’école aussi, la paix doit occuper une place de choix : « A travers le programme national d’éducation civiques par le réarmement moral, il importe de changer les mentalités des jeunes camerounais, il faudrait pour cette République exemplaire que chacun de nous soit un gendarme du civisme dans son environnement immédiat », tel est le vœu de Mounouna Foutsou
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