Au menue de la récente audience accordée par le Premier ministre à l’archevêque métropolitain de Douala, l’arme locale contre le Covid 19 portant la marque de Monseigneur Kleda Une solution endogène qui ne peut être appréciée par l’Oms.
Après quelques temps de tergiversation, le gouvernement semble maintenant engagé à « coopérer » avec Monseigneur Kléda. Il se dit désormais disposé à l’accompagner dans la production et la vulgarisation du produit que l’archevêque métropolitain de Douala a mis au point contre le Covid 19. Sur instruction, dit-on, du chef de l’Etat, le prélat a été reçu le 25 mai dernier par le Premier ministre Joseph Dion Ngute. Seulement la sincérité des autorités camerounaises à l’égard de l’archevêque de Douala peut être sujet à caution. Et pour cause, dans le cadre de la gestion de la pandémie, le gouvernement camerounais collabore étroitement avec la très controversée Organisation mondiale de la santé (Oms) qui s’oppose systématiquement à toute solution endogène (africaine) contre le coronavirus.
Face à quelques succès enregistrés en Afrique dans la recherche d’un traitement contre ce tueur impitoyable, l’Oms embarrassé, a préféré vilipender l’initiative des africains non sans afficher son soutien aux lobbies capitalistes qui contrôlent les firmes pharmaceutiques occidentales. Malgré des ravages causés par la pandémie du corona virus, cet organisation multiplie des maladresses et les manœuvres qui démontrent , si besoin était, que la vie des africains a bien moins de la valeur que l’argent que gagnent les industries pharmaceutiques occidentales.
Tandis qu’au Cameroun le taux des contaminés croit inexorablement et que la courbe des décès continue de monter, l’organisation dite mondiale de la santé n’a pas trouvé mieux à faire que d’offrir de jolies voitures au gouvernement pour prétendument faciliter la sensibilisation des populations sur la maladie. Une option qui cache mal des desseins inavouables de l’Oms, clament les Camerounais.
Madagascar quitte l’Oms
Ce paradoxe flagrant en rajoute au discrédit essuyé dans la gestion du cas malgache. L’Oms, officiellement, n’a vu dans le Covid organique sorti d’un laboratoire de Madagascar que du mal. Pourtant ce traitement a donné les preuves de son efficacité. Des gouvernements africains convaincus des valeurs thérapeutiques de Covid-organique s’en sont procurés pour leurs populations.
Selon la presse malgache, l’Organisation mondiale de la santé aurait fait, quant à elle, des propositions indécentes et criminelles au président de Madagascar. Celui-ci aurait été contacté pour mettre un peu de toxine dans son produit contre une importante somme d’argent, tandis que les alliés européens de l’Oms tentaient de le pirater.
Au finish, le chef de l’Etat, Andry Rajoelina a annoncé la semaine dernière la sortie de son pays de cette organisation et a mis en garde les africains : « Soyez vigilants, l’Organisation mondiale de la santé à laquelle nous nous sommes joints en pensant que cela nous aiderait est là pour tuer les africains….» Ce message doit interpeller Monsieur Kléda : en flirtant avec les affidés de l’Oms, il faut garder les yeux ouverts.
Les malades de kléda sont-ils pris en compte dans les statistiques du Minsanté ?
La cure à base de plante médicinale proposée comme traitement par l’archevêque métropolitain de Douala contre le coronavirus fait sans aucun doute des merveilles. En témoigne la forte sollicitation des formations de santé catholiques agréées où sont référés les malades, hôpitaux Saint Paul de Nylon, Saint Albert Le Grand de Bonabéri et Notre Dame de l’Amour de Logpom.» Ces structures sanitaires en sont aussi les points de ravitaillement dans la capitale économique pour des patients qui ne sont par internés.
Ce médicament a déjà permis, d’après Monseigneur Kléda , à plus d’un millier de personnes atteintes de coronavirus au Cameroun de retrouver la guérison. Plus étrange, même les cas en détresse respiratoire (phase très critique de la maladie qui rapproche le patient de la mort) sont soulagés au bout de 24 heures. Le traitement est administré gratuitement. Le produit n’est pas vendu mais offert à ceux qui sont effectivement dans le besoin et dûment identifiés. Il est aujourd’hui certain que la trouvaille de Kleda sauve des vies mais ses malades et ses cas de guérison sont-ils pris en compte dans les statistiques du Minsanté
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