La Société Camerounaise de verrerie (Socaver), une des entités du Groupe Sabc a offert récemment à la Swaa (Sociéty for women and aids in Africa) un spectrophomètre et des réactifs pour la prise en charge de 864 malades vivant avec le VIH.
La représentante du Chef de District de santé de Japoma a symboliquement remis ces dons à la Secrétaire exécutif de Swaa, madame Hildegarde Lobe. C’était au cours d’une cérémonie organisée le 16 décembre dernier au siège de l’Ong sis au quartier Nkolbong à Douala. Par ce geste, le donateur a voulu encourager les efforts de la Sociéty for women and aids in Africa, engagée depuis une trentaine d’années dans la lutte contre le Sida. Crée en 1991 par un groupe de médecins exerçant à Douala, Swaa Littoral est l’une des quarante représentations de cette Organisation non gouvernementale opérant en Afrique.
Au quotidien, il sensibilise les populations sur les Maladies sexuellement transmissibles notamment le Vih, dispense des conseils pré et post test , assure les soins médicaux, effectue des visites à l’hôpital et à domicile etc. La pandémie du Covid 19 polarise aujourd’hui beaucoup d’attention mais il y a d’autres pathologies tout aussi préoccupant à l’instar du Sida. Le Vih est autant préoccupant pour le corps médical que l’ensemble de la société au regard de ses répercutions au plan humain et social. De nombreux malades continuent d’être pris en charge dans les centres spécialisés et les cas d’infection au VIH sont toujours enregistrés. Le soutien apporté à la Swaa par la Socaver est donc tout indiqué.
Ce n’est pas la première fois que le Groupe Sabc (à travers ses différentes composantes) apporte son appui aux structures de santé et aux populations en général, a indiqué la représentante du chef de District de Japoma. Elle citera au passage le Cma (Centre médical d’arrondissement) de Nyalla qui a bénéficié en mars dernier d’un important don du Groupe Sabc constitué d’un forage, des équipements et des consommables médicaux.
Dire de la Sabc qu’elle est une société citoyenne n’est pas de la poésie, sa responsabilité sociétale s’incarne bel et bien dans le réel.
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